Samedi, dans le secteur de Malemort, les gendarmes de Corrèze ont été appelés pour venir récupérer trois individus qui s'étaient échappés. Il s'agissait de trois poneys Shetland qui avaient décidé de quitter leur enclos pour partir en balade. Ils ont finalement été interpellés en douceur.Il y a des interventions plus sympathiques que d'autres. Et celle du week-end dernier, dans les environs de Brive, en fait partie. Samedi en fin d'après-midi en effet, vers 16h30, dans le secteur de Malemort, les gendarmes de Corrèze ont été appelés pour venir récupérer trois individus qui s'étaient échappés. Il s'agissait en fait de trois poneys Shetland qui avaient décidé de quitter leur enclos pour partir en balade dans les environs. Heureusement, cela s'est produit dans un secteur rural peu fréquenté par les automobilistes.Plusieurs refus d'obtempérer !Arrivés sur place, les deux gendarmes mobilisés sur cette délicate opération ont eu quelques difficultés à récupérer les fuyards. Ces derniers ont d'abord refusé d'obtempérer à plusieurs reprises, avant que les militaires, aidés de deux habitants de Malemort, arrivent finalement à stopper l'escapade des petits équidés. L'intervention a pu se dérouler sans faire appel au négociateur du GIGN  (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale). Les deux poneys se sont finalement laissés interpeller en douceur, sans opposer de résistance. Ils ont ensuite été escortés jusqu'au pré qu'ils n'auraient jamais dû quitter. Ils n'ont pas été placés en garde à vue et personne n'a été blessé.Plus sérieusement, il faut tout de même rappeler que la loi interdit la divagation d'animaux domestiques et des animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. Cela peut générer des désagréments, voire un danger, notamment dans des zones fréquentées par les usagers de la route.

Un cabinet de dentistes va bientôt ouvrir à Guéret. Il se situera dans les ancien locaux d'Enedis. C'est une société qui emploie 130 salariés en Espagne qui souhaite s'implanter en Creuse. Au moins deux chirurgiens dentistes vont s'installer avant que d'autres n'arrivent en fonction des besoins.En Creuse, un cabinet de dentistes va bientôt ouvrir à Guéret. Il se situera dans les ancien locaux d'Enedis, en dessous des impôts, avenue de Laure. C'est une société espagnole nommée IOC, qui emploie 130 salariés dans 11 cliniques en Espagne, à Grenade et dans les îles Canaries, qui souhaite s'implanter en Creuse.Pour commencer, deux chirurgiens dentistes vont s'installer pour s'occuper des soins courants et des spécialistes comme des orthodontistes ou des parodontistes vont tourner sur une semaine, voir plus. En fonction de la demande, d'autres chirurgiens dentistes pourraient venir s'installer.Les travaux sont pris entièrement en charge par la société à hauteur de 500 à 600.000 euros. Elle paiera également un loyer à la mairie de 1000 euros par mois durant 6 ans. Ensuite, soit la société achète le bâtiment, soit elle continuera à louer à la mairie mais pour 55.000 euros par an, soit environ 4.600 euros par mois.Les travaux vont commencer en début d'année pour une ouverture du cabinet prévu en avril/mai.

Les pompiers de la Creuse ont secouru ce dimanche 23 novembre un chien à Nouzerolles. L’animal était coincé dans une canalisation enterrée. Après deux heures d'efforts, le chien a retrouvé l'air libre et son propriétaire.C'est une intervention peu banale qui s'est déroulée ce dimanche 23 novembre à Nouzerolles. Les pompiers ont été appelés pour venir en aide à un chien en très mauvaise posture. L'animal s'est coincé dans une canalisation enterrée. Il s'est engouffré dans le tuyau et n'a pas pu en ressortir. Il a fallu faire appel à une unité spécialisée pour le sortir de ce mauvais pas. L'USAR, l'Unité de Sauvetage, d'Appui et Recherche est venue prêter main forte aux pompiers de Measnes. Elle intervient habituellement lors de tremblement de terre, lorsqu'il faut retrouver des personnes sous les décombres des habitations.Les pompiers de cette unité spécialisée ont commencé par sonder le terrain. Ils ont ensuite utilisé une caméra filaire pour localiser l'animal. Une fois le chien repéré, ils ont creusé puis percé la canalisation. Après deux heures d'efforts, le chien a été libéré, sain et sauf et a pu retrouver la liberté et son maître.

La grippe saisonnière s'installe petit à petit en France, comme le montre un bilan paru ce mercredi 26 novembre. Bien que l'épidémie ne soit pas déclarée, plusieurs régions sont dites en "pré-épidémie".La grippe saisonnière a commencé à s'installer dans plusieurs régions de la métropole française, montre ce mercredi 26 novembre un bilan de l'agence de santé publique, même si l'épidémie n'est pour l'heure pleinement déclarée qu'outre-mer à Mayotte.Pas d'épidémie déclarée pour l'heureLa semaine du 16 au 23 octobre, "l'activité grippale augmentait dans toutes les classes d'âge dans l'Hexagone, indiquant un démarrage de la circulation des virus grippaux en population générale et particulièrement chez les enfants", résume Santé publique France dans un bulletin suivant les principales épidémies hivernales.L'épidémie n'est pour l'heure déclarée dans aucune région de métropole, mais plusieurs sont dites en "pré-épidémie" : Île-de-France, Normandie et Nouvelle-Aquitaine. Outre-mer, en revanche, Mayotte, déjà confrontée à de nombreuses difficultés sanitaires, passe en situation épidémique.L'épidémie de grippe saisonnière avait été particulièrement sévère la saison dernière avec plus de 17.000 décès - contre une moyenne tournant autour de 10.000. Elle avait aussi été exceptionnellement marquée chez les plus jeunes, envoyant de nombreux bébés à l'hôpital.Les autorités sanitaires françaises se sont félicitées cette semaine d'un bon démarrage pour la vaccination, après des taux médiocres en 2024/2025, mais ont prévenu qu'il était trop tôt pour tirer de fermes conclusions sur le succès de la campagne.Une épidémie concentrée sur les bébésÀ ce titre, une autre épidémie, spécifiquement concentrée sur les bébés, se poursuit : Auvergne-Rhône-Alpes, Centre-Val de Loire, Grand Est, Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine et Provence-Alpes-Côte d'Azur.Sur toute la France, plus de 2.000 bébés de moins d'un an sont passés aux urgences pour une bronchiolite, généralement causée par le virus respiratoire syncytial, la semaine dernière et 765 ont été hospitalisés.Dernière grande épidémie suivie par SpF, le Covid n'est guère actif avec des indicateurs "en diminution et à des niveaux faibles".

ll n’y aura plus Mercredi dernier 12 novembre, la Ville de Tulle a été informée par le délégataire OGF, opérateur de services funéraires, d’un problème majeur sur le four du crématorium situé avenue Evariste-Gallois à l’Est de Tulle.« Nous avons été prévenus d’un souci technique au moment du préchauffage du four. Par chance, il n’y avait personne dans la pièce, ni employés, ni corps », indique le cabinet du maire Bernard Combes.Cet incident d’ampleur entraîne la fermeture du crématorium de Tulle pour plusieurs semaines, voire mois.de crémations à Tulle avant plusieurs semaines, voire mois. La semaine dernière, un incident a mis hors d’état de fonctionner le four du crématorium.

Vers 18 heures ce mercredi, deux accidents de deux-roues, l'un à Séreilhac, l'autre à Limoges, ont eu lieu. Trois personnes ont été transportées au CHU de LimogDeux interventions presque simultanées pour les sapeurs-pompiers de la Haute-Vienne, ce mercredi en fin d'après-midi.Un choc entre une voiture et un deux-roues a eu lieu sur la RN 21, à hauteur de Séreilhac, au sud-ouest de Limoges. Le conducteur, âgé de 35 ans, et sa passagère, 23 ans, ont été blessés dans l'accident. Pris en charge par le Samu sur place, ils ont été transportés en urgence relative au CHU de Limoges.L'autre accident, à faible allure, s'est produit rue Henri-Giffard, dans la zone d'Uzurat, à Limoges. Si les circonstances de l'accident sont, pour l'heure, imprécises, le jeune pilote du deux-roues, âgé de 19 ans, a également été transféré au CHU de Limoges par les pompiers suite à de légères blessures.

Le président de l'agglomération du Grand Guéret, Éric Correia, a indiqué qu'il serait candidat aux élections municipales 2026, à Guéret. Une annonce intervenue ce vendredi 21 novembre, dans le cadre d'une réunion publique organisée autour de la venue de Guillaume Lacroix, président du Parti radical de gauche, à Guéret. Guillaume Lacroix qui a assuré Éric Correia de son soutien.Entre vingt-cinq et trente personnes ont bravé la neige pour venir écouter Guillaume Lacroix, président national du Parti radical de gauche (PRG), et Éric Correia, président du Grand Guéret, vendredi soir, dans le cadre d’une réunion publique organisée dans la grande salle de la mairie de Guéret.L’occasion pour Guillaume Lacroix de rappeler que son parti incarne « une gauche républicaine, une gauche des pieds dans la glaise, une gauche des mains dans le cambouis et une gauche qui parle des vrais problèmes ». Soit, pêle-mêle, de « l’école », mais aussi de « l’immigration » et de « l’intégration ».Le responsable du PRG considérant que « la gauche a renoncé à parler à celles et ceux qui sont en train de passer le Rubicon pour voter à l’extrême droite. Elle a renoncé à leur parler parce qu’elle est incapable de leur proposer une alternative. »Taclant au passage, d’un côté, une gauche, notamment représentée par LFI, qui « voit de l’islamophobie partout, mais de l’antisémitisme nulle part » et qui « pense que quand vous êtes laïque, vous êtes raciste ». Et, de l’autre, une gauche qui  « a pris le train de la mondialisation ». Et qui, à l’instar de « Marine Tondelier vient vous vendre le panier de légumes bio pour les femmes enceintes de Strasbourg comme le symbole de ce qu’est la gauche au pouvoir », poursuit Guillaume Lacroix.« Je suis là aussi parce que j’ai un attachement viscéral aux territoires qui se sentent relégués, comme la Creuse. Qu’on dit appartenir, de façon méprisante à Paris, à la “diagonale du vide”. Je crois qu’il est important aussi que ces territoires comprennent qu’à gauche, on n’est pas tous faits pareils. »Éric Correia, candidat, mais pas forcément "tête de liste"La Creuse où Guillaume Lacroix est venu apporter officiellement le soutien de son parti à Éric Correia, dans le cadre des municipales 2026 à Guéret. Ce dernier s’étant, vendredi soir, officiellement déclaré candidat à cette élection. « Je ne dis pas que je veux être tête de liste », prend toutefois soin de préciser Éric Correia, qui par ailleurs continue de plaider pour une « union de la gauche » à Guéret. Mais pas à n'importe quelle condition :« Je ne renierai pas mes valeurs pour faire une union de la gauche, la plus large possible, à tout prix », poursuit-il.Dans sa prise de parole, vendredi soir, il a affirmé qu’il serait « le candidat de cette gauche républicaine, cette gauche du R.E.E.L (Républicaine, Écologique, Européenne, Laïque - N.D.L.R.) […] et je le serai au sein d’une équipe élargie, ouverte, diverse, ancrée dans le réel, portée par une idée simple : réinventer Guéret. »Les mots et formules « dialogue », « sécurité », « solidarité », « investissement », « dynamisme économique », « transition écologique et culturelle » ont notamment été prononcés par le désormais candidat.

Le président de l'agglomération du Grand Guéret, Éric Correia, a indiqué qu'il serait candidat aux élections municipales 2026, à Guéret. Une annonce intervenue ce vendredi 21 novembre, dans le cadre d'une réunion publique organisée autour de la venue de Guillaume Lacroix, président du Parti radical de gauche, à Guéret. Guillaume Lacroix qui a assuré Éric Correia de son soutien.Entre vingt-cinq et trente personnes ont bravé la neige pour venir écouter Guillaume Lacroix, président national du Parti radical de gauche (PRG), et Éric Correia, président du Grand Guéret, vendredi soir, dans le cadre d’une réunion publique organisée dans la grande salle de la mairie de Guéret.L’occasion pour Guillaume Lacroix de rappeler que son parti incarne « une gauche républicaine, une gauche des pieds dans la glaise, une gauche des mains dans le cambouis et une gauche qui parle des vrais problèmes ». Soit, pêle-mêle, de « l’école », mais aussi de « l’immigration » et de « l’intégration ».Le responsable du PRG considérant que « la gauche a renoncé à parler à celles et ceux qui sont en train de passer le Rubicon pour voter à l’extrême droite. Elle a renoncé à leur parler parce qu’elle est incapable de leur proposer une alternative. »Taclant au passage, d’un côté, une gauche, notamment représentée par LFI, qui « voit de l’islamophobie partout, mais de l’antisémitisme nulle part » et qui « pense que quand vous êtes laïque, vous êtes raciste ». Et, de l’autre, une gauche qui  « a pris le train de la mondialisation ». Et qui, à l’instar de « Marine Tondelier vient vous vendre le panier de légumes bio pour les femmes enceintes de Strasbourg comme le symbole de ce qu’est la gauche au pouvoir », poursuit Guillaume Lacroix.« Je suis là aussi parce que j’ai un attachement viscéral aux territoires qui se sentent relégués, comme la Creuse. Qu’on dit appartenir, de façon méprisante à Paris, à la “diagonale du vide”. Je crois qu’il est important aussi que ces territoires comprennent qu’à gauche, on n’est pas tous faits pareils. »Éric Correia, candidat, mais pas forcément "tête de liste"La Creuse où Guillaume Lacroix est venu apporter officiellement le soutien de son parti à Éric Correia, dans le cadre des municipales 2026 à Guéret. Ce dernier s’étant, vendredi soir, officiellement déclaré candidat à cette élection. « Je ne dis pas que je veux être tête de liste », prend toutefois soin de préciser Éric Correia, qui par ailleurs continue de plaider pour une « union de la gauche » à Guéret. Mais pas à n'importe quelle condition :« Je ne renierai pas mes valeurs pour faire une union de la gauche, la plus large possible, à tout prix », poursuit-il.Dans sa prise de parole, vendredi soir, il a affirmé qu’il serait « le candidat de cette gauche républicaine, cette gauche du R.E.E.L (Républicaine, Écologique, Européenne, Laïque - N.D.L.R.) […] et je le serai au sein d’une équipe élargie, ouverte, diverse, ancrée dans le réel, portée par une idée simple : réinventer Guéret. »Les mots et formules « dialogue », « sécurité », « solidarité », « investissement », « dynamisme économique », « transition écologique et culturelle » ont notamment été prononcés par le désormais candidat.

206.000 abonnés sur Instagram, 800.000 sur TikTok… Benoît Coulaud, alias Strike Workout, est pompier à la caserne de Guéret et star des réseaux sociaux.Son visage, vous devez sûrement le connaître. Difficile d’échapper au phénomène “Strike Workout”, suivi par un million de personnes sur les réseaux sociaux. Benoît Coulaud de son vrai nom, 39 ans, est pompier à la caserne de Guéret. Tous les jours, il poste sur Instagram et sur TikTok des vidéos où il présente son métier, montre les gestes de premier secours, et documente sa vie de soldat du feu.Originaire de Montboucher, c’est à 14 ans qu’il décide de rentrer chez les jeunes sapeurs-pompiers. « C’était après le décès de mon cousin sur un accident de moto. Je me suis dit : si j’avais été à côté, je n’aurais rien pu faire pour le sauver. » Il s’engage, devient ensuite pompier volontaire à Bourganeuf tout en suivant ses études à Limoges. « Et ensuite je suis parti chez les pompiers de Paris. »Il y reste neuf ans. Neuf ans où les interventions s’enchaînent, en moyenne trente par jour. Le 7 janvier 2015, il est un des premiers à arriver sur le site de Charlie Hebdo, alors que les terroristes viennent de partir. « On prend tout de suite en charge le policier qui vient de se faire abattre. Un collègue arrive en nous disant : “Il y a au moins dix morts à l’intérieur”. Là je prends un sac d’oxygène et je pars en courant. Je monte dans les locaux, et je vois le carnage ».

« La fin de Radio Pays de Guéret ? Non, ce n’est pas une blague. » La radio associative creusoise publiait un post aux allures de SOS sur son mur Facebook, le 21 octobre dernier. Une façon pour “RPG” d’interpeller ses auditeurs, mais aussi élus et habitants du territoire, alors que le Projet de Loi de Finances (PLF) 2026 porté par le gouvernement prévoit de réduire de 44 % le Fonds de Soutien à l’Expression Radiophonique (FSER).« C’est notre principale source de financement. Cela représente presque la moitié de notre budget », alerte Thibaut Blond, directeur de RPG, structure qui dit toucher environ 65.000 euros par an du fameux fonds géré par le ministère de la Culture. Et qui emploie aujourd’hui trois salariés.Des activités menacéesSelon ce scénario, les ressources de la radio, qui émet depuis la préfecture creusoise, pourraient donc être amputées de près de 30.000 euros l’an prochain. Si ce scénario se confirme, RPG redoute dans un premier temps de devoir perdre un Équivalent Temps Plein (ETP), ce qui mettrait en péril une grande partie de ses activités.Activités qui, comme le rappelle Anne-Laure Le Joliff, journaliste de RPG, dépassent largement le cadre de la réalisation et de la diffusion de programmes :« L’une de nos principales missions est de donner accès à la radio à un maximum de personnes. Et ce, via différents biais, comme l’enregistrement de chroniques, des stages pour réaliser des podcasts… Un gros volet de notre travail est l’éducation aux médias et à l’information, avec l’encadrement d’ateliers auprès de publics scolaires et adultes ».Toutefois, face à cette situation, plus que de la colère, c’est un mélange d’inquiétude et de lassitude qui domine dans les équipes des radios. Car la perspective de voir le FSER raboté n’est pas nouvelle.

Samedi 29 novembre, pour la 7e édition du Bal Queer de Bordeaux, plus de 1 000 personnes ont afflué à la salle des fêtes du Grand-Parc. Un événement incontournable et inclusif, où la bienveillance reste

L’athlète de Pessac, deuxième chez les femmes malgré sa course pleine d’audace, savourait le plaisir d’être sur le podium, à la veille de repartir au Texas où elle suit un master

Le paysagiste Michel Péna a livré au public de Cap sciences son regard poétique sur l’arbre urbain, vendredi 28 novembre. Un prélude à l’édition 2025 de L’Arbre en fête

L’agresseur a sorti une arme blanche et frappé un trentenaire, samedi 29 novembre à Villenave-d’Ornon. La BAC a pu le rattraper quelques minutes plus tard

L’inauguration de la nouvelle mosquée de Talence, ce lundi 1er décembre, est l’aboutissement d’un projet de quinze ans mené par l’Association des musulmans de la ville. Visite guidée avant ouverture